Raisons, enjeux et solutions.

Une pandémie aux origines naturelles, un accident de laboratoire ou un acte prémédité; des mesures gouvernementales liberticides reposant sur une science contestable; le maintien d’un climat anxiogène par les officiels et les médias; une quasi-absence de débat sain et constructif; une censure généralisée dans les ordres professionnels, la presse et les réseaux sociaux; une corruption systémique dans l’industrie de la santé, les institutions internationales, les organismes de recherche et les revues scientifiques; des traitements disponibles, simples, bon marché, sûrs et efficaces que les médecins n’ont pas le droit de prescrire; des centaines d’alertes lancées par les communautés scientifiques et médicales qui n’ont pas été diffusées ni prises en compte; des campagnes de vaccination massives avec des thérapies géniques expérimentales sans aucune visibilité sur les effets à long terme; des enfants vaccinés au nom de la protection des adultes et au mépris de principes de précaution élémentaires; des comités d’éthiques dont les recommandations sont tout simplement ignorées; des économies ruinées; des dettes nationales abyssales qui seront supportées par des générations à venir; des traumatismes psychologiques dans tous les groupes d’âge et en particulier chez les enfants; des tentations totalitaires et la mise en place d’un système de surveillance sans précédent; l’influence immense des intérêts privés sur les politiques gouvernementales; la polarisation des opinions et la division dans les sphères collectives et au sein même des familles; la propagande et son cortège délétère de délations, de calomnies, de diffamations et de mensonges; la naissance d’une ségrégation reposant sur des choix de santé personnels et enfin le silence coupable et la désertion de la société civile face à l’ensemble de ces dérives qui mettent en danger les principes même de nos démocraties reposant sur le droit et les libertés individuelles; voilà en quelques “maux” la crise multidimensionnelle à laquelle nous devons faire face.
Liberté, égalité, fraternité, l’hymne démocratique n’est plus qu’un murmure aux accents “complotiste” qui se perd dans la clameur générale d’une guerre qui ne se nomme pas, mais qui pourtant compte déjà des millions de victimes collatérales des mesures sanitaires et qui sait ce que les effets secondaires des vaccins nous réservent dans les années à venir.
Comment en moins de deux ans, en sommes-nous arrivés à cette capitulation quasi générale du bon sens, de l’esprit critique et de la souveraineté personnelle ?
Les historiens et les sociologues du futur pourront à loisir étudier les causes profondes de cette crise existentielle de notre jeune civilisation marquée du sceau de l’anthropocène.
Les chercheurs de demain seront-ils encore des Homo Sapiens ou des êtres hybrides génétiquement modifiés dont le corps, l’esprit et les sens augmentés seront indissociablement intégrés à une technologie omniprésente ayant franchi l’ultime frontière la séparant du monde biologique de la vie incarnée ?
C’est en explorant les profondeurs de la nature humaine que nous trouverons à fois les raisons de cette crise, ses enjeux et ses solutions.
LES RAISONS
Les systèmes, les organisations, les mouvements sont avant tout composés d’hommes et de femmes dont les pensées, les paroles et les actes créent la réalité d’instant en instant. Or depuis une centaine d’années, on observe la montée en puissance et la domination de la pensée matérialiste.
L’Homme à l’ego réifié a fait de la satisfaction de ses désirs l’unique objet de sa vie. Les autres et la nature sont devenus des ressources à exploiter séparées de lui.
L’Homme ego-centré est en compétition permanente avec son environnement afin de préserver son intégrité physique et son accumulation de biens garantissant sa sécurité et son identité sociale. En l’absence de rapport avec une quelconque forme de spiritualité, la mort est la fin de tout. Préserver le corps et prolonger la vie deviennent alors essentiels.
La séparation de la nature et des autres humains, sans autres perspectives que le quotidien ou sa fuite à travers les paradis artificiels et technologiques, conduit irrémédiablement à la dissolution des liens sociaux et familiaux, au repli sur soi et à l’isolement.
La cupidité et la peur deviennent alors les forces régissant les pensées, les paroles et les actes des hommes et des femmes, quelle que soit leur place dans la société; des “élites” financières et politiques au commun des mortels. À défaut de partager équitablement les ressources de plus en plus limitées de notre belle planète, tous partagent la même terreur de leur mortalité.
À la lumière des comportements humains motivés par la pensée matérialiste et dominés par la cupidité et la peur, il est plus facile de comprendre les phénomènes suivant:
la destruction des écosystèmes et ses conséquences dramatiques sur le climat, l’eau et la nourriture;
les opérations de plus en plus prédatrices et monopolistiques des grands opérateurs financiers et commerciaux;
la polarisation des opinions et la division des populations;
les tensions géopolitiques de plus en plus vives;
la violence de l’expression de la colère populaire;
la financiarisation des économies et les mouvements spéculatifs;
les écarts grandissants de richesse entre les nations et entre les individus;
la généralisation de la concentration des bénéfices et de la mutualisation des pertes.
L’humanité est engagée dans une période critique de son aventure collective. La crise de la COVID-19 et la réponse des institutions semblent être motivées avant tout par la peur des “élites” face à une population mondiale qui va être confrontée à des difficultés majeures au cours des prochaines années et qui ne fera que révéler chaque jour davantage la faillite d’un système politique et économique servant les objectifs d’un petit nombre méprisant totalement les intérêts et le bien-être de la collectivité.
La pandémie apparaît alors comme une occasion d’instrumentaliser la peur afin d’accélérer le contrôle d’individus isolés et divisés.
LES ENJEUX
Individuellement et collectivement nous sommes probablement à un point d’inflexion, au seuil d’un changement de paradigme, à l’avènement d’une nouvelle société.
D’autres expériences de collectivités humaines ont connu, à travers le temps, ces bouleversements caractérisés par la décadence des “élites” et la complaisance des peuples. A la Rome antique et déclinante proclamant Panem et circenses (du pain et des jeux) nous offrons la réponse “moderne”: Revenu Universel et Réalité Virtuelle.
Que dire de notre projet collectif contemporain, incapable de protéger ses aînés et sacrifiant sa jeunesse à l’autel de la peur ?
Comment qualifier nos “élites” ayant totalement perdu de vue la notion de service public et de bien commun ?
Allons-nous accepter ce “new deal” inspiré du “modèle” chinois qui repose sur l’échange liberté contre sécurité et qui fait tant rêver les conseils d’administration et les conseils d’État occidentaux (qui bien souvent rassemblent les mêmes personnes) ?
Car les principaux enjeux de la crise actuelle sont bien notre souveraineté personnelle et nos libertés fondamentales si chèrement payées par les générations précédentes.
Pour chacun d’entre nous, il s’agit aujourd’hui de faire un choix libre et éclairé et de prendre position face à des forces coercitives et liberticides.
Céder à la peur entretenue par les institutions et les médias et craindre le regard de la collectivité complaisante, c’est accepter implicitement de participer à une société motivée par la cupidité et l’asservissement des peuples.
Les décisions que nous prendrons dans les prochains jours, détermineront notre avenir et celui de nos enfants.
Allons-nous suivre les consignes et nous conformer à ce nouveau contrat social en renonçant chaque jour davantage à nos libertés individuelles ou allons-nous affirmer notre souveraineté personnelle et contribuer à un monde respectant nos valeurs ?
Jusqu’où peuvent aller les partisans de la peur et de la cupidité animés par une pensée matérialiste qui rapidement se transforme en pensée unique ? Hitler, Staline, Mao et Pol Pot peuvent nous offrir des éléments de réponse.
LES SOLUTIONS
Si la pensée matérialiste, la peur et la cupidité représentent les fondements de la crise actuelle, alors il s’agit de trouver et d’administer les antidotes appropriés le plus vite possible.
1. Sortir de la peur
La peur paralyse et obscurcit le jugement. Instinctivement on a peur de ce que l’on ne connait et de ce que l’on ne comprend pas. Prendre le temps de s’informer, de comprendre et d’étudier la situation avec différentes approches y compris celles que l’on ne partage pas est essentiel afin de réduire la peur de l’inconnu. Ne pas se limiter à ce qui est véhiculé dans les médias ou les réseaux sociaux, mais faire l’expérience de la réalité et juger par soi-même ou à travers des proches est également important afin de sortir de sa bulle informationnelle qui a tendance à simplement renforcer des opinions et des croyances existantes. Les trois autres antidotes qui suivent sont également très puissants pour vaincre la peur.
2. Aller à la rencontre
Aller à la rencontre tout d’abord de soi-même.
Le fameux “connais-toi toi-même” des philosophes grecs antiques et dont les sagesses orientales ont fait une véritable science, est particulièrement d’actualité aujourd’hui. Il ne s’agit pas d’entrer dans une relation nombriliste avec soi-même, mais bien de connaître le fonctionnement de son esprit qui détermine la réalité que nous percevons comme extérieure à nous-même. Connaître les mécanismes de la perception, ses biais cognitifs, le rôle de ses émotions, la place de l’inconscient, l’influence de ses conditionnements, permet de passer d’un fonctionnement inconscient et réactif face aux évènements à une attitude plus intelligente et apaisée. Une fois le calme intérieur établit il est alors possible de poursuivre l’exploration dans un espace mental agrandi, de gagner en discernement et peut-être même de prendre le chemin de la méditation en route pour la contemplation. La rencontre devient alors Rencontre. Ce qui nous amène au point suivant.
Aller à la rencontre de la nature et de sa vraie nature.
Retrouver le lien originel avec la nature nous permet d’entrer dans un processus de guérison et de transformation. Au sein de la nature nous retrouvons notre place dans l’univers dont nous sommes partie intégrante. La distanciation et la séparation font place à l’intégration et à la communion. Le lien sacré et mystérieux qui nous uni avec toute chose peut se révéler et transformer profondément notre rapport avec nous-même et avec les autres.
Aller à la rencontre des autres.
Dans la situation actuelle, l’isolement et la division sont nos pires ennemis. Malgré le discours dominant et l’apparente docilité de la majorité, les hommes et les femmes ayant des doutes quant aux intentions des institutions ou refusant tout simplement de s’y conformer, sont de plus en plus nombreux. Il suffit pour s’en rendre compte d’aller à la rencontre des autres et d’exprimer ses valeurs. Le courage est contagieux et la parole libère la parole.
3. Affirmer sa souveraineté
Libre-arbitre, confiance en soi et responsabilité sont les expressions de la souveraineté personnelle. Prendre sa vie en main, assumer ses choix, décider librement et agir avec discernement, sont à affirmer et à cultiver dans un contexte général qui pousse l’être humain à y renoncer avec toujours plus d’insistance.
A chaque instant nous avons le choix, en notre âme et conscience, de nous conformer à une autorité dont l’éthique et les valeurs morales sont de plus en plus discutables ou d’agir avec bon sens et intégrité dans le respect de nos valeurs personnelles.
4. Se mettre en marche
Dans un effort permanent d’alignement de nos pensées, paroles et actes, nous allons naturellement nous mettre en marche forts de notre courage, compassion et intelligence.
Animés par la même volonté et guidé par la même lumière, nous allons forcément nous retrouver et ensemble nous saurons mettre en oeuvre les solutions nécessaires pour préserver des valeurs acquises par le sacrifice de trop d’hommes et de femmes pour qu’elles soient bafouées par les partisans de la cupidité et de la peur.
L’Amour transcende la Vie et la Lumière terrassera les forces obscures à l’oeuvre dans ce monde.
Au plaisir de vous rencontrer en chemin.
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